Nous allons faire un petit crochet par la gauche avant de revenir à droite et parler du bon été de Valérie Pécresse.

La gauche est en pleine forme. Elle sait qu’elle n’a aucune chance : c’est une situation idéale pour imaginer des programmes radieux. Après le 30 à Paris; Hidalgo peut faire encore mieux. Ils n’ont pas encore penser à limiter la vitesse des TGV….

Valérie a fait de très bons devoirs de vacances, et pour s’être déclarée 6 mois après lui, elle n’est plus qu’à 2 % d’écart de Xavier Bertrand. Un directeur sportif dirait qu’on est dans le timing.

La soudaine candidature d’Eric Ciotti, confirme que Valérie est dans le bon tempo. Ciotti roule manifestement pour une autre écurie que la sienne.

Michel Barnier, avec son indéniable sérieux, couvrira l’aile droite nostalgique des bienséances d’antan, et apportera volontiers son pactole à celle qui nous sortira des inefficaces schémas masculins.

Denis Payre sera bien utile pour réintroduire le réel dans les pieds des protagonistes, et signifier à tous que la trop grande proportion d’emplois publics est la cause mère de nos déclins.

L’enjeu pourrait bien se situer du cote des moins de 40 ans. Où seront les moins abstentionnistes ? A droite ou à gauche ?

Souvenon nous aussi que lss 4 % qui sont allés à Dupont Aignan, ont en fait élu Macron. Ils se sont crus malins de punir Fillon.

La question centrale revient à demander pourquoi Macron conserve -t-il encore des électeurs de droite, qui ont eu largement le temps de vérifier qu’il compense l’inexpérience par la séduction verbale.

C’est une véritable opportunité que de nous associer au succès d’une femme, afin de nous sortir de là.

A diffuser en une seule dose….